Qu’importe que la Saint-Valentin ait lieu dans un mois : l’amour est atemporel, comme en témoignent ces chants du XVIIe à nos jours.

Quand on a que l’amour, on peut au moins se dire Je t’aime et danser La Valse des Lilas. Qu’importe que l’élue s’appelle Charlotte ou Maria : quand La Force du destin a décoché les flèches de Cupidon, c’est la Chanson perpétuelle des roucoulades et des cœurs qui s’embrasent. Mais parfois les Chemins de l’amour prennent une tournure défavorable : un Je ne t’aime pas ou un Parto signent la rupture et l’arrivée d’une Larme furtive… Dans ce concert où on aime à perdre la raison, airs d’opéras, mélodies ou chansons évoquent toutes les étapes de l’amour, de Mozart à Kurt Weill, de Michel Legrand à Jean Ferrat.

 

Trio Ayonis
Ténor Enguerrand De Hys
Clarinette Elodie Roudet
Piano Paul Beynet