L’Opéra se découvre en famille.

Samedi 4 et dimanche 5 mai 2024, l’Opéra de Rouen Normandie ouvre ses portes à l’occasion de l’événement national « Tous à l’Opéra ! ». Spectacles pour les tout-petits, visites du Théâtre des Arts, ateliers de découverte sont les ingrédients de ces deux journées pensées pour tous les publics.

Tous à l’Opéra ! est une initiative de la Réunion des Opéras de France, labellisée Olympiade Culturelle et soutenue par le Ministère de la Culture, France Télévision et France Culture.

PROGRAMME

SAMEDI 4 MAI
DE 14H À 18H

VISITE DU THÉÂTRE DES ARTS
En famille ou entre amis, venez découvrir les coulisses et les recoins secrets de l’Opéra. Au programme : découverte de l’histoire du Théâtre des Arts, de sa salle, sa scène et de ses dessous… Bien des surprises vous attendent au fil de ce parcours commenté !
JE RÉSERVE

VISITE ET ATELIER LUMIÈRE
Cette visite / atelier, conçue à hauteur d’enfants, vous permettra d’en savoir plus sur l’histoire et le fonctionnement de l’Opéra de Rouen Normandie. Elle inclut un temps d’échange et de pratique avec notre équipe technique à la découverte des métiers de la lumière.
JE RÉSERVE

Entrée libre (réservation conseillée).

SAMEDI 4 ET DIMANCHE 5 MAI
9H30, 10H30 et 11H30 : MUSIQUE ET DOUDOU

Tétine en bouche et doudou en mains, vos petits vont adorer ces concerts qui les initient à la musique classique, dans la douceur et la bonne humeur ! Les lumières sont tamisées et les tapis déployés au sol. Ici, tout est fait pour que les bouts de choux de 0 à 4 ans puissent bouger, dessiner, gazouiller, se lover dans les bras de leurs parents, faire des commentaires à haute voix et même toucher les instruments ! Entre comptines, chants traditionnels et répertoire classique, les musiciens s’adaptent aux tout-petits et les emmènent à l’aventure vers de nouvelles sensations musicales.

Durée 20 minutes, tarif 5 euros. En savoir plus.

Pour plus d’informations, vous pouvez contacter :
Mme Angélina Prévost, chargée des actions culturelles : angelinaprevost@operaderouen.fr
Mme Valérie Le Hyaric, chargée des relations presse régionale : valerielehyaric@operaderouen.fr

Six questions à Ben Glassberg, directeur musical de l’opéra Don Giovanni donné en version de concert.

Vous retrouvez, ici, votre répertoire fétiche. Que représente Don Giovanni de Mozart pour vous ?
Un plaisir immense ! Cette partition est intense, complexe et d’une dramaturgie incroyable. Tout y est ! La passion, l’humour, la terreur, le cynisme, la tendresse… Le rôle-titre est un personnage absolument affreux, assoiffé de conquête et immoral, et pourtant c’est un opéra que l’on aime, tant l’humanité des autres personnages nous touche et la musique est parfaite.

Qu’est-ce que la version de concert permet d’explorer ?
Le théâtre et le travail avec les metteurs en scène m’inspirent énormément mais dans cette œuvre, c’est l’orchestre qui joue toute la dramaturgie et assure le parcours narratif. La partition est si bien écrite que l’on suit l’intrigue et les émotions des personnages à travers les notes.

Comment en révéler la force ?
Par le détail de ses couleurs musicales. La partition joue sur deux axes ambivalents, un mélange de raffinement et de caractère plus animal. Je voudrais travailler cette élégance, cette part plus brute et instinctive.

C’est un plaisir supplémentaire que de retrouver Huw Montague Rendall, ici dans le rôle-titre. Qu’aimez-vous de sa voix ?
J’aime la noblesse de sa voix et sa flexibilité dans la recherche des couleurs. Huw Montague Rendall est un chanteur qui aime prendre des risques et j’adore ça car c’est dans ces conditions que l’on peut trouver la magie. L’Orchestre le connait très bien. Nous avons mené plusieurs concerts et enregistré un disque ensemble. Nous sommes heureux de l’accompagner dans cette prise de rôle.

Des grandes voix de la nouvelle génération l’entourent également…
Tout à fait. On entendra une distribution remarquable de jeunes étoiles montantes avec notamment trois sopranos à la carrière prometteuse. Chacun des solistes trouvera sa place car chaque numéro de Don Giovanni est un chef-d’œuvre en soi. Je ne pourrai en citer un en particulier tant ils sont tous exceptionnels.

Avec quelle sensation avez-vous envie que le public ressorte de ce concert ?
Avec la sensation que la musique se suffit à elle-même. Qu’elle est pleine, puissante et qu’elle peut dérouler une histoire à laquelle on peut complètement adhérer.

Propos recueillis par Vinciane Laumonier •

Entretien avec Boris Giltburg, pianiste interprétant le Concerto pour piano n°20 de Mozart lors du concert Mendelssohn, Mozart.

Vous êtes un grand interprète de Beethoven et de Rachmaninov. En quoi Mozart vous parle-t-il ?
Je me sens surtout proche de ses œuvres vocales ; les opéras, le Requiem, la Messe en ut mineur. La beauté de sa musique est inhérente à sa compréhension profonde du caractère humain et des émotions qu’il sait parfaitement capturer dans les notes. Cela rend l’expérience d’écoute extrêmement puissante ! Jusqu’à présent, je ne l’ai pas joué autant que je l’aurais souhaité, c’est pourquoi chaque occasion d’approcher sa musique et son génie m’est précieuse et passionnante.

Peut-on dire de ce Concerto n°20 qu’il a une tonalité romantique ?
Son attrait émotionnel est immédiat.
Dès la première note, on ressent le trouble intérieur, la douleur mais aussi la poésie et le lyrisme, parfaitement équilibrés.
Et quelle abondance de thèmes chantants ! L’écriture pianistique est superbe, en grande partie virtuose, très physique, mais toujours au service de la musique et des émotions qui y sont imprégnées.

Comment le piano est-il entré dans votre vie ?
Ma mère, ma grand-mère et mon arrière-grand-mère sont et étaient pianistes et professeures de piano, nous avons toujours eu un piano à la maison. À cinq ans, j’étais convaincu que ce piano était là pour que j’en joue. J’ai demandé à ma mère de m’apprendre mais elle était contre cette idée car elle pensait que nous avions trop de pianistes dans la famille ! Comme j’étais têtu, elle a finalement cédé et m’a donné mes premières leçons.

Que ressentez-vous lorsque vous êtes au clavier ?
Je me sens très chanceux d’avoir ce lien si particulier avec le piano car je trouve que c’est l’instrument le plus polyvalent après l’orchestre. Il nous permet d’avoir accès à un répertoire presque infini. Être au piano, c’est pour moi un sentiment de sécurité et d’excitation. C’est l’un de mes endroits préférés au monde.

Vous construisez une relation forte avec le public en dehors des concerts,
à travers votre blog et vos vidéos. Pourquoi est-ce important pour vous ?
Partager la musique est l’une de mes plus grandes joies en tant que musicien. Tout ce que je fais perdrait une grande partie de sa valeur sans public. Se connecter avec un public en ligne n’est qu’une extension du partage de musique dans une salle de concert. Bien sûr, rien, jamais, n’égale l’expérience du live, mais si je peux, en plus de cela, partager autant de musique en ligne que possible ou écrire sur les œuvres que j’aime dans l’espoir de donner au public un aperçu du contexte de leur création, de leur structure et de leur univers, je trouve cela extrêmement enrichissant.

Propos recueillis par Vinciane Laumonier •

Bande-annonce de l’opéra Tancrède de Gioachino Rossini, donné du 12 au 16 mars 2024 au Théâtre des Arts.

Le ténor argentin Santiago Ballerini nous emmène au cœur des répétitions de Tancrède.

Les mises en scène piano (MSP) sont les premières répétitions que font les chanteurs sur scène. Ils découvrent le décor, les spécificités et dimensions de la scène sur laquelle ils répètent, rencontrent les autres artistes et peaufinent la mise en scène.

Ils sont accompagnés par un piano, qui leur donne le rythme et les notes.

Les chanteurs ont très peu de costumes ou d’accessoires, le but étant principalement l’apprentissage de la mise en scène.

Amour, guerre et trahison pimentent l’intrigue de cet opéra de Rossini, mis en scène par Pierre-Emmanuel Rousseau et présenté par Loïc Lachenal, directeur de l’Opéra de Rouen Normandie.

Cinq questions à Pierre-Emmanuel Rousseau, metteur en scène, scénographe et costumier de l’opéra Tancrède.

Qu’avez-vous envie de partager avec cette mise en scène ?
Je voulais raconter les deux histoires parallèles qui se jouent dans cet opéra. Celle de Tancrède, chevalier exilé et blessé qui rentre à Syracuse dans un désir de vengeance, et celle d’Amenaïde qui n’a cessé de l’attendre, animée par un amour absolu. Lui, traumatisé par la guerre, est davantage amoureux de l’idée de l’amour que d’Amenaïde et passe complètement à côté d’elle, ne la défendant pas lorsqu’elle sera accusée de trahison alors qu’elle fera tout son possible pour lui prouver son innocence. C’est cet amour discordant et toutes les strates de guerre, de blessure et de revanche qui font son terreau que j’avais envie d’explorer.

Comment l’avez-vous traduit sur scène ?
Par une scénographie sombre où le noir domine, avec quelques incursions dorées, et l’idée d’un Moyen-Âge fantasmé. Je me suis inspiré des films Promenade avec l’amour et la mort de John Huston (1969), qui se déroule pendant la Guerre de Cent Ans, et du Septième Sceau (1957) d’Ingmar Bergman. L’obscurantisme, l’inquisition et le poids de l’église sont particulièrement prégnants à cette époque et je souhaitais rendre ainsi le message plus universel. Tancrède a tout d’un chevalier errant qui court vers sa mort. Il arrive masqué et entre sur scène pour mourir.

Les costumes sont-ils inspirés de ce Moyen-Âge ?
Oui, mais de manière très stylisée, avec des éléments noirs et Amenaïde en or. Nous avons également joué avec les éclairages pour créer des ambiances lumineuses de clairs-obscurs.

Qu’est-il important, pour vous, de faire ressortir de la musique de Rossini sur scène ?
Cet opéra est une commande. Il s’agit du premier opera seria de Rossini et il atteint déjà une acmé à la mort de Tancrède qui est, pour moi, la plus belle page de l’Histoire de l’opéra. Rossini écrit, de manière complètement inédite, une mort naturaliste. La musique se désagrège petit à petit et Tancrède meurt, musicalement, dans un souffle. Une véritable mort de cinéma, qui n’a d’ailleurs pas plu à l’époque, obligeant Rossini à écrire une autre version finale. Tous les rôles sont également exigeants. Le quatuor de chanteurs, pour les représentations rouennaises, est juste extraordinaire. Il révélera la force de ces partitions.

Comment vos choix s’articulent-ils ?
Ici, nous partons de la production que j’ai déjà mise en scène, étudions son squelette, vidéos à l’appui, et échangeons sur la manière de nous l’approprier avec les chanteurs.

Propos recueillis par Vinciane Laumonier •

« Je connaissais peu l’œuvre et ai été subjugué par la force de sa musique. »

Pierre-Emmanuel Rousseau

Deux compositeurs de talent à découvrir autour d’un concert entre optimisme dynamique et créativité débordante.

L’énergie triomphante du Concerto pour violon de Beethoven, guidée par la romance de la mélodie, en fait une œuvre remarquable et incontournable du grand répertoire.

Un concert majestueux à vivre au Théâtre des Arts les 16 et 17 février

Entretien avec Francesca Dego, violoniste et soliste du concert Beethoven, Farrenc.

En quoi ce Concerto de Beethoven est-il exceptionnel ?
Écrit en 1806, il constitue le summum du répertoire pour mon instrument. C’est le premier concerto du répertoire à atteindre une telle ampleur. À lui seul, le premier mouvement est aussi long que n’importe lequel des concertos complets de Mozart !
Il a été l’inspiration, ou du moins la référence, pour tous les compositeurs qui ont suivi et qui ont écrit pour violon, à commencer par Brahms.

Comment le ressentez-vous ?
C’est le premier grand concerto que j’ai entendu en concert lorsque j’étais enfant. J’ai commencé à l’apprendre à douze ans et l’ai joué pour la première fois à quatorze ! On peut lire des interviews de grands pédagogues et musiciens du passé qui disent qu’il ne faut pas toucher à cette œuvre avant d’avoir quarante ans et de la barbe ! C’était peut-être courageux ou imprudent de l’étudier si jeune, mais j’ai l’impression que les morceaux que vous apprenez enfant pour toujours sont gravés dans vos doigts. Cela m’a définitivement sauvée du respect craintif pour la musique qui peut être paralysant. Aujourd’hui, je me sens au bord des larmes à chaque fois que je le joue. Même dans un concerto aussi long (presque quarante-cinq minutes !), il n’y a pas une seule note superflue.

Peut-on dire qu’il s’agit d’une œuvre optimiste pour Beethoven ?
Beethoven a choisi les qualités positives et envolées du violon plutôt que ses aspects dramatiques. Dans le premier mouvement, on touche le sublime avec des chants angéliques où l’expérience humaine est élevée au rang de transcendance.
Le deuxième mouvement est le morceau de musique le plus sincère et tendre, et le dernier mouvement une explosion de joie de vie.

Comment intégrez-vous votre voix ?
Il faut sentir quand pousser et quand écouter et suivre les lignes orchestrales.
Je pense que l’aspect le plus important de cette pièce est qu’on ne peut pas compter sur la virtuosité comme moyen d’expression. Beethoven ne semble pas se soucier des éventuels problèmes instrumentaux du violon mais de la force de la pureté de son idée musicale. Le son doit être imprégné d’une patience sincère et d’une chaleur constante pour permettre à cette musique exquise de se déployer.

Qu’aimez-vous exprimer avec cet instrument ?
Le violon, c’est ma voix, ni plus ni moins. Honnêtement, je ne me souviens même pas de ma vie avant de jouer ! Je l’ai entre les mains depuis l’âge de quatre ans. C’est aussi très spécial de jouer sur des violons historiques anciens, chacun avec sa propre personnalité, que vous apprenez à libérer et mélanger à la vôtre. Je joue maintenant sur un violon Francesco Ruggeri et j’en suis totalement amoureuse. C’est l’un des derniers violons fabriqués par le célèbre facteur crémonais, daté de 1697. L’archet que j’utilise est un Dominique Peccatte fabriqué vers 1850, plein de caractère.
Ce sont deux compagnons parfaits qui participent à l’élaboration de chaque interprétation.

Propos recueillis par Vinciane Laumonier •

Entretien avec Katia et Marielle Labèque, pianistes.

Après Les Enfants Terribles, Philip Glass crée pour vous une version pour piano de La Belle et la Bête et Orphée.
Quelles sont les richesses de ces œuvres ?

Marielle Labèque : Nous avons rencontré Philip à Los Angeles lors de la création de son concerto en 2015 et il nous a partagé l’envie de travailler ensemble sur cette adaptation de la trilogie. Cela a été un cadeau pour nous, à l’heure du confinement, de nous plonger dans cette création. La Belle et la Bête est organique et virtuose à certains moments. Orphée est plus intime et surprenant avec ce ragtime, par exemple, en ouverture.
Katia Labèque : Ce sont des histoires merveilleuses qui renferment une part de rêve. Une musique qui parle de la création, du pouvoir de l’imagination et de la dualité : la vie et la mort, le monde ordinaire et le monde de la transformation, Paul et Elisabeth, la Belle et la Bête, Orphée et la Princesse, Cocteau et Glass.

Peut-on dire que cette musique chamarrée s’écoute comme un roman ?
KL : Elle est liée aux personnages et aux histoires. Il est impossible de ne pas penser au texte lorsqu’on joue la musique de Glass liée à Cocteau.
ML : Et c’est l’énergie de nos pianos qui doit prendre en charge ces histoires et la voix des chanteurs. La musique se déploie d’une telle manière qu’on ne sait pas forcement vers quelle direction on va.
On a vraiment ressenti cette dimension évolutive lors de nos sessions de travail pour l’enregistrement du disque.

En quoi la musique de Glass tient-elle une place particulière dans votre cœur ?
ML : Sa musique dite répétitive est très variée dans ses phrasés, c’est ce qui en fait toute la beauté. Elle contient peu de notes mais est exigeante. Elle pose la question de la simplicité. Tout ce que Philip raconte dans son livre Paroles sans musique me va droit au cœur. Travailler avec lui, c’est se plonger dans un monde que nous ne jouions pas auparavant. Il a une approche très libre de sa musique et laisse l’interprète s’emparer de l’œuvre pour trouver ses propres tempi. Une ouverture précieuse.
KL : De grands interprètes jouent Glass à présent et c’est très beau de l’entendre de façons différentes. Marielle et moi le considérons comme le grand compositeur romantique de notre siècle.

Vous aimez travailler avec les compositeurs contemporains, pourquoi ?
KL : C’est important de garder toujours un contact avec la réalité musicale de notre époque. C’est une inspiration de travailler avec des compositeurs comme Glass mais aussi Dessner, Muhly, Golijov…

Qu’est-ce qui maintient en vous cette flamme et cette curiosité si vives après cinquante ans de carrière ?
ML : Se plonger dans une œuvre comme c’est le cas ici est une chance, une manière de se régénérer. La sensation d’être immergé dans une matière vivante. Il est rare qu’on passe autant de temps, et avec autant de minutie, dans une œuvre. Partager, ensuite, en concert, ce mythe qui parle à tous est un moment magique qui nous galvanise.

Propos recueillis par Vinciane Laumonier •

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Accessibilité

L’Opéra accessible
L’Opéra de Rouen Normandie met tout en œuvre pour encourager et faciliter la venue des personnes en situation de handicap. Une tarification adaptée, des dispositifs d’accompagnement spécifiques et des lieux accessibles permettent une découverte de la saison dans les meilleures conditions.

Gilets vibrants
Pour ressentir pleinement les vibrations d’un opéra, d’un concert ou d’un spectacle de danse, l’Opéra de Rouen Normandie met à disposition des gilets SUBPAC pour certains spectacles sur réservation. En savoir plus.

Séances en LSF
Il n’y a actuellement pas de spectacle programmé en Langue des Signes Française à ce jour.

Boucles magnétiques
Des boucles magnétiques individuelles sont disponibles sur simple demande et permettent une amplification sonore des spectacles pour les personnes bénéficiant d’une assistance auditive avec position T.

Réservation SMS
Les personnes présentant une déficience auditive peuvent réserver leurs places et leurs gilets vibrants par SMS au 07 81 15 36 09.

Surtitrage
Un surtitrage en français est proposé pour tous les opéras.

Audiodescription
Certaines représentations sont audiodécrites en partenariat avec Accès Culture. En amont de ces rendez-vous, nous proposons une visite tactile des décors et des costumes avec l’équipe artistique. Le jour du spectacle, le programme de salle est disponible en caractères agrandis et en braille. En savoir plus.

Loupes
Disponibles sur simple demande au vestiaire.

Des lieux adaptés
Le Théâtre des Arts (entrée rue du docteur Rambert) et la Chapelle Corneille sont équipés de rampes d’accès et d’ascenseurs. Des emplacements spécifiques sont réservés aux personnes à mobilité réduite et leurs accompagnateurs. Voir la carte d’accès.

Parcours de découverte
En lien avec la programmation, ils sont proposés aux personnes présentant une déficience intellectuelle.

Votre interlocutrice privilégiée pour organiser des parcours, vous informer sur la programmation, faciliter votre venue :
Angélina Prévost
07 81 15 36 09
angelinaprevost@operaderouen.fr

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