Le souffle virtuose de Lucienne Renaudin Vary révèle toute la splendeur du célèbre Concerto pour trompette de Hummel.
C’est un incontournable du répertoire et la talentueuse Lucienne Renaudin Vary s’en empare avec un optimisme réjouissant. Le Concerto pour trompette de Hummel est l’un des plus joués au monde et compte parmi les œuvres fétiches qui accompagnent la brillante carrière de la trompettiste de vingt-quatre ans. Laissez-vous gagner par ses mélodies solaires et son ambiance si romantique. Elle trouve un écho fraternel dans les arrangements tendres et rêveurs des Maîtres chanteurs de Nuremberg de Wagner. Antony Hermus nous en restitue toute la force dramatique et le caractère ardent.
Un souffle russe s’empare de Ben Glassberg et de l’Orchestre de l’Opéra avec la poignante Pathétique de Tchaïkovsky et le piano virtuose de Stephen Hough.
S’il fallait un mot pour définir la Symphonie n°6 de Tchaïkovsky, c’est bien « sincérité ». À chaque mesure, les effusions du compositeur nous font vibrer. Sa musique va droit au cœur. « En la composant mentalement, j’ai beaucoup pleuré » écrit-il en 1893, alors qu’il achève ce joyau d’intériorité. Il meurt quelque temps après, son œuvre résonnant comme un magnifique testament musical. C’est ce fil d’émotions russes que Ben Glassberg continue de dérouler avec le Concerto pour piano n°4 de Rachmaninov. Quel humanisme et quelle mélancolie dans ces pages ! De son jeu magistral et sensible, Stephen Hough révèle les couleurs audacieuses et les sonorités presque jazz de ce concerto qu’il a enregistré avec brio et pour lequel il a reçu de nombreuses distinctions.
Un souffle russe s’empare de Ben Glassberg et de l’Orchestre de l’Opéra avec la poignante Pathétique de Tchaïkovsky et le piano virtuose de Stephen Hough.
S’il fallait un mot pour définir la Symphonie n°6 de Tchaïkovsky, c’est bien « sincérité ». À chaque mesure, les effusions du compositeur nous font vibrer. Sa musique va droit au cœur. « En la composant mentalement, j’ai beaucoup pleuré » écrit-il en 1893, alors qu’il achève ce joyau d’intériorité. Il meurt quelque temps après, son œuvre résonnant comme un magnifique testament musical. C’est ce fil d’émotions russes que Ben Glassberg continue de dérouler avec le Concerto pour piano n°4 de Rachmaninov. Quel humanisme et quelle mélancolie dans ces pages ! De son jeu magistral et sensible, Stephen Hough révèle les couleurs audacieuses et les sonorités presque jazz de ce concerto qu’il a enregistré avec brio et pour lequel il a reçu de nombreuses distinctions.