Vous voulez changer de dimension ?
Aventurez-vous dans « La Grande » Symphonie de Schubert avec la complicité d’Andreas Spering.

On a parfois envie de vivre des sensations au format XXL. Si la Symphonie n°9 de Schubert est surnommée «La Grande », c’est bien qu’elle est la plus majestueuse du compositeur.
On y respire avec ampleur, porté par un souffle riche et une pulsion presque vitale. Cette œuvre est aussi très novatrice. En 1825, Schubert y marie la forme classique et l’esprit romantique avec maturité. Dans son Concerto en la majeur, Carl Philipp Emanuel Bach dessine également de nouvelles perspectives. Le plus doué et surprenant des quatre fils de Jean-Sébastien Bach creuse sa propre voie, entre baroque et classique, avec un lyrisme d’une sincérité folle. « Un musicien ne peut émouvoir sans être lui-même ému », écrit-il.
À n’en pas douter, il trouve un parfait interprète en Bruno Philippe, violoncelliste à la sensibilité poignante.